Gérald Geronimi est né à Marseille en 1975. Il découvre la photographie à l’âge de 13 ans, lorsqu’il accompagne ses parents au Festival de Cannes. Ce ne sont pas les stars qui l’éblouissent, mais ceux qui les regardent à travers un viseur — ces photographes discrets mais essentiels, postés là sur le tapis rouge. Très vite, il se dit qu’un jour, il sera de ceux-là. Un rêve d’enfant devenu chemin de vie. Un coup de cœur… qui ne le quittera plus jamais.
Au collège, quand il parle de son rêve de devenir photographe, on lui répond que son avenir c’est sérieux, et que photographe… ce n’est pas un vrai métier. Mais il s’accroche, décroche un diplôme de photographie, et commence sa carrière au service photo des Marins Pompiers de Marseille, pendant son service militaire. Une expérience fondatrice, à la fois humaine et photographique. Une école de vie et d’humilité.
En 1998, il rejoint l’organisation de la Coupe du Monde de Football à Marseille, et découvre l’univers bouillonnant de la presse sportive. Mais c’est en 2003 qu’il décide de se lancer pleinement dans ce qui l’anime depuis toujours : raconter le monde en images. Il devient photographe indépendant. Mariages, portraits, événements… Il photographie les gens heureux, les souvenirs précieux, les instants qu’on ne veut surtout pas oublier. Il couvre aussi des événements prestigieux, comme les NRJ Music Awards, la Foire de Marseille, et bien d’autres.
Curieux de l’humain, il intervient régulièrement dans les services hospitaliers de Marseille, Lens ou Valenciennes, où il photographie avec discrétion des instants de vie chargés d’émotion et de dignité. En 2007, il quitte sa ville natale pour poser ses valises à Lens, dans le Nord-Pas-de-Calais. Ce sera un nouveau départ… et un vrai coup de cœur pour cette région, ses visages, ses lumières, ses silences.
Aujourd’hui, Gérald se définit simplement comme un photographe des instants heureux. Il aime les regards sincères, les gestes discrets, les silences pleins de vie. Son travail, loin des artifices, cherche à suspendre le temps — ne serait-ce qu’un instant. Pour garder une trace. Pour toucher du doigt ce qui nous échappe. Pour partager ce qu’il y a de plus fragile et de plus précieux.
Vous pouvez découvrir son travail professionnel sur : www.geraldgeronimi.com